Faustine Bollaert look jean

Faustine Bollaert : son look jean qui fait mouche et comment l’adopter sans se tromper

Le look jean de Faustine Bollaert décodé : coupes, couleurs, associations. Guide rapide pour l’adopter, du plateau TV à la vraie vie.

On l’a vu en plateau, dans la rue, sur photo prise à la volée : le jean de Faustine Bollaert capte l’œil, sans en faire trop. Chic, simple, efficace. Exactement ce que cherche quiconque tape “Faustine Bollaert look jean” et veut la recette, claire et applicable tout de suite.

Le contexte compte. Depuis 2017, Faustine Bollaert anime Ça commence aujourd’hui sur France 2 et alterne silhouettes confortables et tenues filmiques. Quand le jean s’invite, il gomme les codes trop stricts du plateau et apporte ce naturel souriant qu’on lui connait. La question est simple : comment reproduire ce rendu télé en vrai, sans faux pas ni dépenses inutiles.

Pourquoi le jean de Faustine Bollaert marche à l’écran

La télévision aime les matières mates et les coupes nettes. Un denim bleu moyen, droit, taille marquée, passe bien la lumière et allonge la jambe. L’œil comprend en une seconde. Pas de reflets agressifs, pas de surlavage qui fatigue l’image.

Autre point clé : le duo jean et haut lumineux. Une chemise blanche ou un pull écru crée un contraste doux qui met le visage en avant. C’est mécanique. La veste bien structurée finalise la ligne, utile quand on s’assoit ou qu’on se lève en plateau.

Les codes clés du look jean de Faustine Bollaert

Le style tient à trois réglages visibles : la hauteur de taille, la longueur de jambe, la teinte. Un jean taille marquée stabilise la silhouette. Une cheville dégagée évite l’effet tassé. Un bleu moyen donne un rendu soigné sans rigidité.

Pour les accessoires, l’accord reste simple. Des mocassins vernis, des escarpins bloc ou des baskets blanches propres. Une ceinture fine, une montre, éventuellement une médaille discrète. Rien qui crie, tout qui équilibre.

Le denim a une histoire qui guide encore les coupes. Le brevet déposé en 1873 par Levi Strauss et Jacob Davis a fixé l’idée d’un coton robuste, pensé pour durer. Aujourd’hui, les tissages plus souples facilitent les coupes droites et bootcut sans raideur.

En pratique, ces repères aident à aller droit au but :

  • Privilégier un jean droit ou bootcut en bleu moyen, sans déchirures.
  • Choisir une taille marquée qui tient le ventre et affine la ligne.
  • Couper l’ourlet au niveau de la malléole pour porter avec plat ou talon.
  • Associer une chemise claire ou un pull côtelé, puis une veste structurée.
  • Garder des accessoires sobres pour laisser le jean parler.

Erreurs fréquentes et solutions simples

Le surlavage grisonnant durcit les traits. Mieux vaut un bleu moyen uniforme, qui passe partout au bureau comme à l’antenne. Les moustaches marquées sur le haut de cuisse attirent l’attention au mauvais endroit.

La longueur joue souvent des tours. Un ourlet qui touche le sol casse la ligne et abîme le tissu. Un ourlet trop court remonte la cheville et coupe la silhouette. Une retouche de 1 à 2 cm change tout, déja.

Les poches arrière comptent. Trop basses, elles alourdissent. Trop petites, elles disproportionnent. Visuellement, une poche centrée sur la moitié du galbe donne un rendu plus net. C’est le genre de détail qu’on ne voit pas en cabine, mais la caméra, si.

Question matière, un denim trop stretch se détend vite et plisse au genou. Un mélange coton dominant avec un peu d’élasthanne tient mieux. On gagne en tenue sans perdre en confort quand on s’assoit plusieurs heures.

Adopter le look jean de Faustine Bollaert pas à pas

Commencer par la coupe. Essayer un droit taille marquée, puis un bootcut si l’on porte des talons. Tenir l’ourlet au ras de la cheville en plat, à mi-talon en escarpins. Regarder le profil et l’arrière, pas seulement la face.

Enchaîner avec le haut. Une chemise blanche non transparente, un t-shirt écru épais ou un pull fin. Ajouter une veste cintrée bleu marine ou camel pour structurer. L’ensemble joue la simplicité soignée qui fonctionne à l’écran comme en réunion.

Fixer enfin les accessoires. Ceinture fine ton sur ton, montre claire, sac moyen format. Chaussures propres, semelles nettes. Rien d’ostentatoire pour laisser la silhouette respirer.

Un dernier repère aide à trancher : si le jean allonge la jambe, clarifie la taille et accompagne le mouvement, on est sur la bonne voie. Trois critères, un rendu maîtrisé, et ce naturel signé Faustine Bollaert qui fait mouche sans effort.

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